SWOON – “Motherlands” (30 novembre 2013 – 1er février 2014)
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jusqu’au 19 octobre 2013
through october 2013
Pour la rentrée 2013 la Galerie L.J. présente : « PAPER WORKS: CLARA FANISE | TANGENT LIN | EVAH FAN », une exposition consacrée à trois jeunes femmes artistes travaillant sur papier, offrant la possibilité d’apprécier différentes formes d’approches figuratives de ce support à la lumière des styles personnels de chacune d’entre elles.
Clara Fanise (Bruxelles, née en 1983) travaille à remettre en cause les habitudes de la représentation occidentale. Elle affine sa réflexion sur la permutation entre l’artiste et le spectateur en illustrant de manière particulièrement littérale l’idée selon laquelle le spectateur aussi fait l’œuvre. Grace à son outil préféré – le crayon de couleur, elle sait donner à ses dessins un rendu particulièrement détaillé et réaliste.
Lin Tien Chun alias Tangent Lin (Taiwan, née en 1983) travaille au feutre à bille de type Rotring avec la pointe la plus fine possible pour peupler ses feuilles de papier de personnages étranges voire monstrueux, qui se croisent et se rencontrent dans des situations incongrues. On retrouve dans ses dessins l’influence de la tradition des estampes chinoises, souvent ponctuées de quelques lignes de texte à côté des personnages, ainsi que l’esprit des bestiaires de Jérôme Bosch.
Les gouaches d’Evah Fan (San Francisco, née en 1980) offrent un discours poétique et narratif et se composent bien souvent d’un minimum de personnages et de quelques objets. Elles reflètent l’absurde et le comique, exprimés avec une petite dose d’ironie. L’artiste influencée par l’illustration humoristique et/ou critique apporte un soin particulier au choix des titres de ses peintures, qui donnent alors tout leur sens à l’image et les transforment en une sorte de petit dicton illustré.
du 4 juillet au 3 août 2013 | july 4th thru august 3rd 2013
La Galerie LJ est heureuse de présenter « The Springboard » (Le Plongeoir), la première exposition solo d’Antoine Corbineau à Paris. Après sa participation remarquée au Salon de Montrouge en 2011 ainsi qu’à plusieurs expositions collectives à la galerie, Antoine présentera le fruit d’une année et demi de travail avec un ensemble de peintures sur papier et sur toile.
Le point de départ de cette exposition est l’extrait d’un texte d’Henry Miller (The Cosmological Eye, 1939) : « Au moment où je m’étais élancé du plongeoir, j’avais eu l’impression de quitter la terre pour toujours. Je me fichais royalement de me noyer (…) Quel sentiment merveilleux que de s’envoler en laissant derrière soi cet immonde fatras qu’on glorifie du nom de civilisation. A l’instant où j’avais refait surface, il m’avait semblé voir le monde avec un regard neuf. Plus rien n’était pareil. Les gens paraissaient étrangement lointains et détachés; ils étaient posés çà et là, comme des phoques se séchant au soleil. Ce que je voudrais faire comprendre, c’est qu’ils me semblaient totalement dépourvus de signification. Ils faisaient simplement partie du paysage, comme les rochers, les arbres et les vaches dans les prés ».
Ainsi, les peintures présentées dans cette exposition (sur papier et sur toile), tout comme l’ensemble du travail d’Antoine Corbineau, proposent une vision de la nature comme elle est réellement, cosmique, c’est à dire une nature où l’homme n’est qu’un de ses composants. Les personnages représentés, comme dans la vision d’Henry Miller dans les eaux grecques, semblent s’extraire de leur place sur terre. C’est à la fois accepter de plonger, perdre ses repères, de fondre dans la matière et n’en devenir qu’un morceau indéfini.
4 mai – 25 juin 2013 | may 4th – june 25th 2013
une proposition de | curated by Marco Costantini
avec | with :
Omar Ba | Elise Gagnebin-de Bons | Annaïk Lou Pitteloud | Ana Roldan | Sandrine Pelletier
La Galerie L.J. met à l’honneur la jeune création d’origine ou formée en Suisse en invitant le commissaire d’exposition Marco Costantini (Ecole cantonale d’art du Valais) à proposer une exposition pour laquelle il a choisi de réunir les peintures sur carton ondulé d’Omar Ba (formé au Sénégal puis à Genève) ; les sculptures de Sandrine Pelletier (diplômée de l’ECAL, Lausanne) ; les dessins d’Ana Roldán (formée au Mexique puis à Bern) ; les vidéo et installations d’Annaïk Lou Pitteloud (diplômée de la HKB, Bern) ; et les collages d’Elise Gagnebin-de Bons (diplômée de l’ECAL, Lausanne).
“Last Exit to Ordalia” prend comme point de départ un recueil de nouvelles de l’auteur américain Hubert Selby Junior intitulé Last Exit to Brooklyn. L’auteur y relate à travers plusieurs personnages le désoeuvrement dans le quartier de Brooklyn dans les années 50. Ce qui est à relever dans ce récit et qui est l’un des points de départ du projet de l’exposition est de questionner la relation entre pauvreté spirituelle et misère économique, entre victimisation et responsabilité. L’ordalie est quant à elle un mode archaïque de preuve en justice basé sur le jugement de Dieu. Il consiste à soumettre les plaidants à une épreuve physique dont l’issue, établie par Dieu, désigne la personne innocente ou coupable.
Riche ou pauvre, dominant ou dominé, innocent ou coupable, Ordalia tranchera. Ne loupez pas la sortie !
OMAR BA est fasciné par tout ce qui touche au pouvoir, ses costumes et ses oripeaux. Centré principalement sur l’histoire de l’Afrique, le travail d’Omar Ba questionne les relations complexes entretenues entre les différentes populations du continent et la dictature ou le colonialisme. Jamais réaliste ou simplistes, les œuvres d’Omar Ba nous entraine davantage dans des représentations énigmatiques et poétique sur fonds tantôt noir tantôt blanc. Qu’il s’agisse de traiter des tirailleurs – les soldats venus du Sénégal pendant la Deuxième Guerre mondiale pour secourir les Français – ou d’excision, les peintures d’Omar Ba tentent comme elles le peuvent de régler les injustices du passé comme du présent. C’est dès lors l’artiste, et lui seul, qui décerne les médailles.
L’association des pratiques artisanales ou folkloriques avec les expériences et outils des artistes de l’art minimal et conceptuel confèrent aux œuvres de SANDRINE PELLETIER un effet d’inquiétante étrangeté. Décalage, illusionnisme et trompe l’œil sont de plus des figures de style que l’on retrouve à plusieurs reprises dans son travail. Elles sont les rouages d’une vision d’ensemble que l’artiste a sur sa pratique et qu’elle souligne à travers des mises en scène qui ne laissent aucune place au hasard.
Protéiforme, le travail d’ELISE GAGNEBIN-DE-BONS se développe généreusement tant sur l’axe vertical de l’art, soit sa dimension historique, que le long de l’axe horizontal, définissant quant à lui sa dimension sociale. Si la réalité semble bien être un élément crucial de son travail, elle prend forme dans son intérêt pour le phénomène de société – violent le plus souvent – et la marginalité. Elise Gagnebin-de Bons travaille dès lors le réel afin non seulement de réveiller notre conscience mais davantage de questionner la portée critique et politique de l’art aujourd’hui. Son œuvre TIP TAP OIL présente une danseuse qui exécute une double action: celle de danser et celle de déverser sur elle- même le liquide, en l’occurrence de l’essence. Cette dernière se rapporte à un fait d’actualité politique récurent dans l’histoire contemporaine: l’immolation. Ce phénomène est en effet survenu à plusieurs reprises dans l’histoire (Moine vietnamien bouddhiste à Saigon en 1963, Jan Pallach à Prague en 1969, Alfredo Ormando à Rome en 1998), et encore récemment avec celle de Mohammed Bouazizi en janvier 2011 en Tunisie qui a été un élément déclencheur de la révolution du Printemps Arabe. Il a depuis encore été commis à Thessalonique et à Tel Aviv.
On a souvent tendance à vouloir définir ANNAIK LOU PITTELOUD comme étant une photographe tant elle a utilisé ce médium. Pourtant, elle a réalisé en parallèle à ses prises de vue une série de pièces qui se rapprochent davantage d’une approche conceptuelle. La dilatation et la compression de l’espace et du temps sont néanmoins communes. Si l’usage de la photographie dans Prototype et Sequence renégociait notre relation au réel, la video Non-Specific Target (2010) interroge nos système d’identification et nos modèles de représentations et de transcription quels qu’ils soient. D’autres pièces questionnent notre rapport à la surveillance, à l’insurrection et au(x) contrôle(x) dont nous faisons l’objet.
Pour son installation à la galerie, ANA ROLDAN s’est inspirée de l’artiste conceptuel nord-américain James Lee Byars (1932-1997). De son travail « How to do Shakespeare », composé d’exactement 1000 et 1 phrases, elle a extrait l’assertion « We are all the same person » au début de laquelle elle a ajouté « In terms of nature ». Roldán a apposé cette sentence sur un papier peint aux motifs gris, sur lequel, en observant plus attentivement, on distingue la forme d’une colonne vertébrale et d’une cage thoracique, ainsi qu’un bananier. L’énigme que cet assemblage inspire à première vue fait écho à la polysémie de références symboliques qui émane de la sentence ouverte de Byars. Notre origine et notre identité, voire le rapport entre l’être humain et la nature pure et simple, sont ici remis en question. Nous sommes tous égaux de nature, malgré des apparences et des imprégnations culturelles très différentes. Roldán crée autour de l’invitation à la poésie de Byars un dialogue entre la phrase source et sa ré-appropriation artistique, et relie subtilement par le fait-même réflexion et perception sensuelle.
13 mars – 27 avril 2013 | march 13 – april 27 2013
La Galerie L.J., en collaboration avec Le Grand Jeu, est heureuse de présenter une exposition collective sur les valeurs montantes de l’art urbain italien, avec une sélection d’artistes qui en sont représentatifs. Avec : Moneyless, Tellas,Pane et Agostino Iacurci.
En italien, Paragone signifie comparaison. L’exposition « Paragone – Formes et couleurs de l’art urbain italien » invite le spectateur à analyser son propre regard, pour reconnaître et démasquer ses préjugés visuels, en observant et en comparant les œuvres de quatre artistes, qui fondent leur démarche sur le coloris – Agostino Iacurci et Pane – ou sur le dessin – Moneyless et Tellas.
Our current show Paragone is dedicated to the various shapes of Italian street art and graffiti, with the artists Moneyless, Tellas,Pane and Agostino Iacurci, curated by Christian Omodeo for Le Grand Jeu
26 janvier – 27 février 2013 | january 26 – february 27
vernissage samedi 26 janvier, 15h-21h
“Merci pour les robes”, c’est ce qu’il aurait pu lui dire vu le défilé printemps-été 2011 qu’elle lui a offert pour le séduire. Car elle est tombée amoureuse. Mais pas lui. Avec cette nouvelle exposition très personnelle, Anne Geoffroy nous raconte l’histoire d’un “rateau” avec douceur et humour, via une nouvelle série de dessins et d’installations.
2012
Mois de la Photo Off: Alix Marie | novembre 2012
Quentin Garel | oct-nov 2012
Allyson Mellberg | sept 2021
ESTIVALE 2012 | juillet 2012 | Avec A.J. Fosil, Alix Marie, Anne Geoffroy, Antoine Corbineau, Brendan Monroe, Quentin Garel et SupaKitch.
Swoon | mai-juin 2012
Céramiques contemporaines | mai-juin 2012
Fafi x The Carmine Vault | 10 – 28 avril 2012
quarante par trente | 15 mars – 7 avril 2012 | Avec Nicolas Barrome, Evah Fan, Anne Geoffroy, Jenny Hart, Honet, Koralie, Allyson Mellberg, Brendan Monroe, Poch, Amandine Urruty, Supakitch, Rostarr, Irina Dakeva, Antoine Corbineau, Yue Wu, Motomichi Nakamura, Jeremy Taylor, Raymond Lemstra, Ragnar Persson, Karin Cyrén, Little Madi, Chen Hangfeng, et Sun Lee Stew Loo.
2011
A.J. Fosik | 1er déc 2011 – 17 janv 2012
SupaKitch | 22 octobre – 26 novembre 2011
Eun-mi Oh | 1er septembre – 8 octobre 2011
Jenny Hart | 1er septembre – 8 octobre 2011
Estivale 2011 | 1er juillet – 29 août 2011
Fafi | pop up shop, 14 – 21 juin 2011
Alëxone | 5 mai – 11 juin 2011
Allyson Mellberg | 12 mars – 30 avril 2011
Galerie LJ @Pictoplasma, Berlin | 6 – 10 avril 2011 | Avec Amandine Urruty, Allyson Mellberg, Fafi, Brendan Monroe, Evah Fan et Alëxone.
Yaze | 30 janv – 3 mars 2011
2010
Quentin Garel | 9 déc 2010 – 19 janv 2011
Swoon | 23 oct – 4 déc 2010
Evah Fan & Brendan Monroe | 4 sept – 16 oct 2010
Estivale 2010 | 2 – 30 juillet 2010 | Avec A.J. Fosik, Sandrine Pelletier, Alëxone, Ephameron, Koralie, Cécile Brigand et Allyson Mellberg.
Alëxone | 29 mai – 7 juillet 2010
Pen to Paper | 29 avril – 26 mai 2010 | Commissariat : Pictoplasma
Anne Geoffroy | 29 avril – 26 mai 2010
Cécile Brigand | 18 mars – 24 avril 2010
Dado | 1961-2000 : sélection d’oeuvres | 30 janvier – 13 mars 2010
2009
Koralie | 3 décembre 2009 – 19 janvier 2010
Fils Croisés | broderie et art contemporain : Sandrine Pelletier, Jenny Hart, Birgit Dieker, Céline Cléron, Anne Geoffroy, Olivier Kosta-Théphaine, Valérie Newland | 15 oc – 28 nov 2009
Olivier Kosta-Théfaine | 5 sept – 5 oct 2009
Une Estivale 2009 | 4 juillet – 2 sept 2009 | Commissariat : Choque Cultural, Sao Paulo
Quentin Garel | 28 mai – 1er juillet 2009
Céline Cléron | 29 avril – 26 mai 2009
Yaze | 17 mars – 27 avril 2009
Collectif 1980 | 4 – 28 février 2009
2008
Poch, Honet, Stak, Rcf1 | 29 nov – 31 déc 2008
Brendan Monroe & Evah Fan | 9 oct – 6 nov 2008
A.J. Fosik | 6 – 29 sept 2008
Une Estivale 2008 | 17 juillet – 4 sept 2008 | avec Caroline Challan-Belval, Olivier Cans, Fafi, AJ Fosik, Quentin Garel, Koa, Koralie, Anne-Laure Maison, Yaze, Swoon, Amandine Urruty, Zhang Xing.
Le Mur | rétrospective 1 an | 12 juin – 1er juillet 2008
Alëxone | 15 mai – 10 juin 2008
Cécile Brigand | 12 avril – 10 mai 2008
Anne Geoffroy | 9 février – 18 mars 2008
Ephameron | 9 février – 18 mars 2008
Yaze | 10 janvier – 6 février 2008
2007
Alessandro Mendini | design | 15 déc 2007-10 jan 2008
Swoon, Chris Stain, Mike Brodie | 10 nov-8 déc 2007
Jean-Philippe Paty | 11 oct – 4 nov 2007
Emmanuelle Pérat | 6 sept – 4 oct 2007
Une Estivale 2007 | 5 juillet – 4 sept 2007 | avec Thierry Agnone, Cécile Brigand, Brendan Monroe, Ephameron, Evah Fan, Fafi, A.J. Fosik, Quentin Garel, Anne Geoffroy, Christian Gonzenbach, Koralie, L’Atlas, Gilles Miquelis, Simon Pasieka, Jean-Philippe Paty, Swoon et Ben Wittner.
Koralie | 5 avril – 8 mai 2007
L’Atlas | 9 – 31 mars 2007
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