[21/03 – 25/03/17] ART CENTRAL HONG KONG
Pour sa première participation à la foire Art Central à Hong Kong la galerie présente des oeuvres récentes ou inédites de Mu Pan et Swoon sur son stand F16.
Pour sa première participation à la foire Art Central à Hong Kong la galerie présente des oeuvres récentes ou inédites de Mu Pan et Swoon sur son stand F16.
A l’occasion de ses 10 ans en 2017 la galerie propose de redécouvrir les artistes qu’elle représente à travers deux expositions collectives consécutives en janvier-février puis en mars. Ce premier volet est consacré à la représentation des enfers, du chaos, du purgatoire, d’un paradis illusoire, de la sérénité retrouvée et de la rédemption, dans les oeuvres de :
Stephan Doitschinoff, AJ Fosik, Mary Iverson, Tangent Lin, Allyson Mellberg, Brendan Monroe, Mu Pan, Andrew Schoultz, Swoon.
Bienvenue à Urbanopolis !
Une ville recréée grâce aux oeuvres de : Benjamin « Come » Affagard, Kevin Cyr, Evol, Mary Iverson, Koralie, Daniel Rich, Ben Tolman, Swoon.
Une exposition en collaboration avec les galeries Jonathan Levine, Speerstra et Peter Blum.
La Galerie LJ propose, pour clôre sa programmation 2016, une exposition collective comme une sorte de mise en abîme : «Urbanopolis», ou la représentation de la ville dans le travail des artistes urbains et pop contemporary, voire la représentation du street art, par des street artists. «Urbanopolis» c’est aussi l’occasion pour la galerie de collaborer avec de nouveaux artistes, notamment américains qui bénéficient déjà d’une certaine notoriété chez eux et qui sont à découvrir chez nous. «Urbanopolis» réserve à ce titre quelques pépites ! Les amateurs de street art seront par ailleurs heureux de retrouver certains pontes du genre.
Benjamin Affagard alias «Come» (FR), son nom de graffeur, recrée des maquettes de petits commerces graffées par des artistes (ici Alëxone, Hobz et Dark Elixir) à qui il confie le rideau de fer de la boutique, la palissade de chantier. L’américain Kevin Cyr peint à l’huile d’après ses propres photos, de réels camions utilitaires taggués, avec un réalisme déconcertant. Réalisme également dans les méticuleux pochoirs à la bombe de l’allemand EVOL, qui réutilise des matériaux de récupération (métal, carton, mobilier urbain) comme support de sa ville imaginaire. Mary Iverson (US) rappelle que la nature est plus que jamais menacée par la ville: ses peintures explorent la limite entre la nature et les activités industrielles, initiant un dialogue sur les causes et les conséquences du changement climatique. Koralie (FR), quant à elle, a toujours intégré d’une façon ou d’une autre des notions d’achitecture à ses oeuvres sur toile ou papier, ou ses peintures murales : son passé de jeune architecte lui a laissé le goût et la recherche de la symétrie parfaite. La densité rigide des bâtiments de l’allemand Daniel Rich vont aussi en ce sens : ils ne laissent aucune place à l’Homme. Rich explore la façon dont l’architecture et l’espace urbain reflètent notre vécu et les structures sociales et politiques, à partir d’images collectées sur internet. Densité, étouffement, chaos? C’est sûrement aussi ce qui ressort des dessins de Ben Tolman (US), dont il faut prendre le temps de scruter à la loupe les scènes de vie de quartier : à y regarder de plus près, incivilités, agressions, drogue, sexe et violence, rendent cette ville plus brutale que ses amusants dessins en noir et blanc ne le paraissent de prime abord. Swoon (US), enfin, a passé les 15 dernières années à voyager et représenter dans le corps de ses personnages les villes et quartiers où ils habitent. Bangkok, Le Caire, Braddock en Pennsylvanie, Detroit : Swoon dépeint le portrait des villes via celui de ses habitants.
[FR] Dans la continuité de la sélection d’oeuvres présentées sur notre stand à YIA Art Fair, Paris, entre le 20 et 23 octobre dernier, la galerie présente jusqu’au 23 novembre de nouvelles oeuvres sur mylar et sur papier de Swoon, le nouveau Masque de Gorille en bois de Quentin Garel, et pour la 1ère fois à Paris, les peintures de l’artiste américain Andrew Schoultz.
[ENG] Following up our participation to YIA Art Fair between October 20th and 23rd, we present thru November 23rd new works on mylar and paper by Swoon, a new Gorilla Head in wood by Quentin Garel, and for the first time in Paris the paintings of American artist Andrew Schoultz.
+ infos (horaires d’ouverture et accès)
Du 20 au 23 octobre 2016 au Carreau du Temple, Paris.
Artistes représentés sur notre stand : Jessica Harrison, Mu Pan, Andrew Schoultz, Swoon.
La galerie présente pour la rentrée 2016 une sélection des photographies de l’artiste-plasticienne Dawn Ng, figure montante incontournable de la jeune scène artistique de Singapour. Le travail protéiforme de Dawn Ng s’exprime par le biais de la photographie, du collage, de l’illustration, d’installations utilisant la lumière ou d’autres supports, autant pour des galeries et des commanditaires privés que pour des institutions publiques comme le Singapore Art Museum (SAM). Une majeure partie de son travail joue malicieusement avec les notions d’appartenance, d’identité et de nostalgie. Son parcours dans la publicité se retrouve dans la résonance pop de son travail, et sa tentative de jouer avec l’évidence pour dire la vérité. Elle a récemment réalisé une installation monumentale pour la Fondation Hermès à Singapour commandée à l’occasion de la réouverture de leur flagship (2016).
A THING OF BEAUTY, sa plus récente série de photographies réalisées en 2015 dont une sélection est montrée à la galerie, présente des installations à la façon de natures mortes, mettant en scène des petits objets de la vie quotidienne collectés auprès de particuliers. Dans cette série est célébrée la minutie, sous forme d’objets, de la vie de tous les jours, culminant dans une sorte de monde merveilleux de formes et d’ombres qui auraient pu être construites dans la pierre. La pléthore d’objets collectés pour cette palette a été récoltée auprès d’un total de 138 mères de famille et petits commerces, de la boulangerie à l’épicerie de quartier, au coeur des quartiers résidentiels de Singapour, transformant chaque installation en documentation anthropologique des petites choses que nous possédons aujourd’hui et maintenant. A THING OF BEAUTY est une célébration du quotidien et de l’ordinaire. Diplômée en art et journalisme de la Georgetown University, Washington DC, et de la UCL Slade School of Fine Art, Londres, elle a passé ces 10 dernières années entre Singapour, Paris et New York à cumuler des activités dans l’art, le design et publicité. En 2009, son installation I FLY LIKE PAPER GET HIGH LIKE PLANES a intronisé Dawn comme le nouveau «tour de force» de la jeune scène artistique singapourienne, suite de quoi son installation WALTER (un lapin géant gonflable) fut acquise pour la collection permanente du Singapore Art Museum. Il a été prêté en France en 2015 pour une exposition au MAC Lyon consacrée aux meilleurs jeunes artistes de Singapour, puis montré à Lille pour le grand événement culturel «Renaissance» de Lille3000 à l’automne 2015. Female Magazine, le premier magazine féminin de Singapour, lui a confié cet hiver la DA des 40 pages de leur numéro spécial Arts & Design.
Dawn a récemment réalisé HOW TO DISAPPEAR INTO A RAINBOW, une installation commandée par la fondation Hermès à Singapour pour leur espace Aloft, à l’occasion de la réouverture de leur flagship. + infos
Nous sommes heureux de recevoir la deuxième exposition personnelle de Jessica Harrison à Paris, après le succès de sa 1ère exposition chez nous en 2014 et le succès de «Ceramix» à la Maison Rouge, dont l’une de ses figurines tatouées en porcelaine est à l’affiche. Cette nouvelle exposition à la galerie présente le résultat de 3 mois de résidence que Jessica Harrison a réalisée fin 2015 au réputé EKWC, centre d’art dédié à la céramique aux Pays-Bas. Là-bas, elle a étudié la fabrication de la porcelaine et a expérimenté diverses sortes de glaçures et de modelage.
« Pink, Green, Blue & Black » est le titre du nouvel ensemble de 4 séries d’oeuvres que Harrison a produit au EKWC, qui pousse plus avant ses recherches actuelles sur la relation entre la vue et le toucher, les mécaniques de perception et les erreurs d’interprétations. Elle explore ainsi la physicalité de la céramique et l’espace entre « faire » et « voir » les objets, créant un ensemble complexe d’erreurs et de défauts volontaires mesurés, fabriqués à partir d’une accumulation d’observations imparfaites.
La première série, « Things from the V&A », reconstitue la collection éclectique des vases et récipients du Victoria & Albert Museum, Londres, qu’elle a reproduite avec la technique sommaire du modelage à la main à base de boudins de pâte de porcelaine et de porcelaine à cendre d’os (un type de porcelaine composé d’un minimum de 30 % de cendre d’os désagrégée, d’où le nom anglo-saxon de « Bone China »). Les formes grossières obtenues par un modelage rapide, parfois au point de s’effondrer, contrastent avec le matériau utilisé, la porcelaine, synonyme d’une lisse préciosité. Harrison a travaillé à partir d’images de la collection du V&A glânées dans des livres ou sur Google. Les défauts devenus apparents au cours du modelage ont été ignorés ou au contraire, encouragés : bien qu’il s’agisse d’une façon totalement inappropriée pour recréer les objets originaux ayant servis de modèles, la vitesse et les gestes sans restreinte employés pour recréer ces pièces sont des éléments cruciaux du travail de l’artiste, où le processus créatif, fait d’imperfections et d’erreurs, devient un médium en soit. Ainsi chaque vase devient un objet performatif sur duquel on peut « lire » comment, via les inflexions visibles sur le matériau, ils ont été créés, et à quels stades il a fallu que l’artiste fasse une pause afin d’éviter que l’argile ne s’effondre.
La deuxième série, « Bone China Figures », poursuit cette reconstitution grossière modelée à la main de modèles existants en porcelaine, cette fois-ci de figurines produites à échelle industrielle par des fabricants tels que Royal Doulton ou Coalport, typiquement anglais, représentations idéalisées de la femme dans des poses et costumes d’un autre temps. A distance, ces figurines faites à la main dans un camaïeu de roses rappellent en effet la silhouette de ces décorations populaires de cheminées. Cependant alors qu’on s’en approche, la façon rapide et sommaire avec laquelle elles ont été modelées se révèlent dans leur pose grossièrement formée.
Les deux dernières de ces nouvelles séries d’oeuvres réutilisent quant à elles ces figurines originales, une pratique pour laquelle Jessica Harrison est plus connue. Consciente de cette association entre son travail et ces figurines, elle a souhaité mettre ces objets à contribution dans cette phase plus expérimentale de son travail, explorant les possibilités de la céramique. Ici l’artiste s’est inspirée de la série de céramiques naufragées ensevelies par des centaines d’années passées sous la mer qui sont exposées au Victoria & Albert Museum, et a transposé le concept à des figurines qu’elle a vernies couche sur couche de glaçure jusqu’à leur recréer comme des épidermes épais fusionnant avec les objets qui se trouvent en dessous. Les sculptures gardent cette posture et leur volumineux costume caractéristique, mais sont étouffées sous des croûtes organiques qui leur sont étrangères, servant de conclusion à point nommé pour cette exposition consacrée à l’exploration de la céramique comme matériau.
Biographie
Née en Angleterre en 1982, Jessica Harrison s’est installée en Ecosse pour étudier la sculpture au Edinburgh College of Art en 2000, y obtenant un PhD en pratique de la sculpture en 2013. Désormais conférencière au Edinburgh College of Art, elle vit et travaille à Edinburgh et a été récemment élue académicienne à la Royal Scottish Academy.
Son travail est actuellement présenté dans CERAMIX à La Maison Rouge, Paris, et précédemment en 2015 au Bonnefanten Museum, Maastricht, une exposition itinérante organisée en collaboration avec Sèvres Cité de la Céramique. En 2015, elle a participé à «Dismaland» à Weston-Super-Mare, exposition-parc à thème de Banksy, et à « Sweet 18 », Kasteel d’Ursel, Belgique. En 2014, le centre d’art Jupiter Artland à Edinburgh a présenté son solo show «Broken», tandis que la Galerie LJ lui avait consacré son premier solo show à Paris, « Flash ».
Toutes les oeuvres ont été réalisées à sundaymorning@EKWC, un programme de résidence artistique du European Ceramic Workcentre à Oisterwijk, Pays-Bas (https://sundaymorning.ekwc.nl/).
Cette résidence a été possible grâce au soutien de Creative Scotland et du Hope Scott Trust.
La Galerie LJ est fière de présenter la 1ère exposition personnelle à Paris de l’artiste français originaire de Guadeloupe, Samuel Gélas, né en 1986. Diplômé de l’Ecole Nationale Supérieure d’Arts de Paris Cergy, résident de la Cité Internationale des Arts, son travail fut notamment découvert du grand public au Salon de Montrouge 2012 en France, et ArtBemao 2013 en Guadeloupe. En 2015 ses peintures ont été présentées à Paris dans des expositions collectives à la Galerie Nathalie Obadia et la Galerie LJ.
La démarche picturale de Samuel Gélas s’apparente à la figuration narrative et au pop art dans une forme à la fois ludique, poétique et critique du monde. Le peintre de 30 ans regarde et analyse les phénomènes médiatiques et sociétaux de la vie quotidienne. La plupart de ses œuvres questionnent la nature humaine à travers ses diverses formes d’animosité et d’animalité dans un corpus travaillant avec force la question des violences urbaines, sociales et culturelles.
Pour sa nouvelle série de peintures à la pierre noire et l’acrylique produite en 2015-2016, Gélas s’est inspiré du néologisme inventé par le critique d’art guadeloupéen Jocelyn Valton : «négricide», dans un texte publié en 2015. Associant « nègre » et « homicide », ce terme désigne «l’ensemble des meurtres de masse, ou au caractère moins étendu, perpétrés sur une grande échelle de temps, allant du XVème au XIXème siècle, contre les Africains réduits en esclavage par des trafiquants pour les colons européens (…) dans le contexte raciste de la traite négrière transatlantique ».
C’est suite à une déclaration de François Hollande le 27/01/2015 à propos de la la Shoah, qualifiée de plus grand génocide jamais commis, que s’ensuivent les réactions de nombreux intellectuels noirs, dont l’artiste guadeloupéenne Joëlle Ursull dans une lettre ouverte envoyée au président dénonçant la hiérarchisation des horreurs de l’Humanité, ou Valton avec la publication de son texte. Interpellé par ces débats, Gélas décide de proposer une série de peintures introspectives et engagées qui questionnent ses origines et celles des afro-descendants caribéens, sur fond ocre rouge rehaussé de noir, symboles de la peau noire et du sang. L’esclavage y est évoqué dans son extrême violence, renforcée par le truchement de la représentation animale. L’idée que la traite négrière ait sa propre appellation, Négricide, a inspiré à Gélas cette série de peintures qui en traduisent le caractère inhumain via des métaphores faisant référence au monde animal et aux objets. Il représente les divers châtiments que pouvait subir quotidiennement les esclaves : traversée de l’Atlantique entassés dans les cales des navires, lynchages, pendaisons, crémations en masse, viols routiniers, pieds et mains coupés, ou encore finir dévoré par des chiens, le tout détaillé et légiféré dans le Code Noir, sont quelques exemples du caractère génocidaire de la traite négrière évoqués dans ses peintures. Ce travail trouve tout son sens aujourd’hui alors que la question des réparations se pose parmi les afro-descendants.
● LE PROJET ●
Il est né d’une envie commune : celle de l’artiste de vouloir confronter ses sculptures aux collections du Muséum, et celle du Muséum de proposer au visiteur un regard différent sur les squelettes patrimoniaux présentés dans les Galeries de Paléontologie et d’Anatomie Comparée.
Une douzaine d’œuvres (sculptures et dessins) seront exposées dans les galeries ainsi que dans le Jardin des Plantes. L’exposition sera conçue comme un parcours au sein des collections. Elle pourra commencer ou se prolonger dans le Jardin avec la présentation de pièces monumentales en bronze et fonte de fer.
Une table-ronde réunissant des scientifiques du Muséum, un critique philosophe d’art et l’artiste, aura lieu le 11 avril 2016 dans l’Amphithéâtre des Galeries.
Le film «Quentin Garel L’Animé» de Benoît de Vilmorin, réalisé sur l’artiste et son œuvre en 2015, sera également programmé dans l’Amphithéâtre des Galeries.
● L’ARTISTE ●
Né en 1975, diplômé de l’ENSBA Paris (1998) et ex-résident de la Casa Velasquez Madrid, Quentin Garelvit et travaille à Paris et en Normandie. Il développe un travail de sculpture mettant en œuvre des assemblages de bois divers autour de deux thèmes : le trophée animal et le vestige paléontologique. Ce travail ouvre une fenêtre sur les relations complexes qu’entretient l’homme avec les animaux au travers de leur représentation. Il a prolongé ces thèmes avec la fonte de fer et le bronze qui lui apportent une dimension plus monumentale et l’ouvrent vers des espaces extérieurs. Il travaille également sur la surprise suscitée par les changements d’échelle de certaines de ses sculptures (mandibule, crâne d’oiseau, de macaque, de vache…).
Il est représenté par la Galerie LJ, Paris, depuis sa fondation en 2007.
● LE MUSÉE ●
Galeries de Paléontologie et d’Anatomie Comparée
Accès par le 2 rue Buffon, 75005 Paris
Horaires : ouvert tous les jours sauf le mardi et le 1er mai de 10h à 17h
Exposition ouverte au public à partir du 16 mars 2016
+ infos sur le site du Muséum
[FR]
A l’occasion de son exposition personnelle “Le Magicien d’Os” au Muséum National d’Histoire Naturelle (16 mars-12 septembre 2016), nous présentons conjointement des sculptures récentes de Quentin Garel, bois et bronze de petit à moyen formats, à la galerie du 26 mars au 23 avril. Nous présenterons également une sélection de ses sculptures à Bruxelles sur notre stand à la foire YIA Bruxelles, au Louise186, avenue Louise, Ixelles, du 21 au 24 avril 2016.
[ENG]
In conjunction with his current exhibition at the National Museum of Natural History (March 16th-September 12th 2016), we are presenting a selection of recent sculptures by Quentin Garel, wood and bronze, small and medium scale, at the gallery from March 26th through April 23rd 2016. We will also show a selection of his sculptures on our booth at YIA Art Fair in Brussels from April 21st to 24th 2016.
Email hello@galerielj.com
Tel +33 (0) 1 72 38 44 47
Adresse
32 bd du Général Jean Simon
75013 Paris, France
M(14) BNF
T(3a) Avenue de France
Horaires d'ouverture
Du mardi au samedi
De 11h à 19h